L’Aire D’Autoroute

Je vous propose un nouveau récit écrit à deux mains avec ma complice et amie Sensuelleetsexy basé sur un de ses fantasmes. Nous vous souhaitons une très agréable lecture ainsi qu’une très bonne année...

Du bout de ses doigts aux ongles vernis d’un rouge vermillon Stéphanie monte le son de l’autoradio en reconnaissant sa chanson préférée.
Elle sent l’air doux caresser ses jambes nues Je sur cette aire d’autoroute du pays Nantais.
Ses yeux protégés de lunettes de soleil elle observe la course des rares nuages dans le ciel limpide se mélangeant aux volutes de sa cigarette.
Quelques camions de transport international sont stationnés, frappés par l’interdiction de circuler le week-end.
Son esprit vagabonde et des flashs très coquins reviennent à la mémoire de la quadra, des images et des sensations des rencontres avec ses derniers amants, notamment Ludo qui la baise si bien.
Portant une robe ample elle replie une jambe sur le bord du châssis par la portière ouverte et sa main glisse lentement sur sa jambe ainsi dévoilée.
Elle sent la chaleur monter sous ses doigts et ils arrivent bientôt sur son sexe doux et lisse.

Un des fantasmes de la libertine a toujours été de se faire prendre par un routier sur une aire d'autoroute.
Elle commence à se caresser mais assez discrètement parce que tous les hommes présents sur l'aire ne sont pas ment des routiers ou des coquins. La robe relevée, le soleil vient jusqu'a ses lévres douces, encourageant les caresses de la belle.
Elle ne voit pas arriver l'homme qui a deviné ses caresses, car il longe son véhicule par l'arrière côté conducteur. Elle sursaute, arrête ses caresses mais ne retire pas sa main. Il contourne la portière et se positionne face à Stéphanie pour lui faire comprendre qu'il souhaite la regarder, puisqu'ainsi il a une vue directe sur ses cuisses ouvertes.

Le routier a un sourire doux et la belle se sent rassurée.

Tout doucement, se surprenant elle-même, ses doigts recommencent tout doucement leurs caresses et le chauffeur étranger fixe le bouton gonflé qui danse sous les doigts de Stéphanie.
L’homme se dandine un peu sur place et son regard envoie une supplique muette.
Stéphanie acquiesce d’un petit mouvement de tête et le chauffeur commence à déboutonner son pantalon qui glisse bientôt à ses chevilles rejoint par son caleçon.
Les yeux de la belle s’écarquillent de surprise devant l’engin qu’elle aperçoit. Une longue queue à demi en érection reposant jusqu’à mi-cuisse de cet étranger.
L’homme s’en saisit et commence à se branler devant la femme au regard gourmand et intéressé.

Elle surveille les alentours pour être sûre que personne ne les voit. Même si elle aime s'exhiber, Stéphanie ne souhaite pas s'exposer inutilement.
Son regard revient rapidement se poser sur l'engin s'offrant à ses yeux. Il est évident qu'il lui fait envie. Elle aime les sexes généreux mais quand ils ne sont pas trop épais et le sien est parfait.
Du coup cela motive davantage ses caresses et l'incite à écarter encore plus les cuisses.
Elle hésite à lui demander s'il est routier dans l'espoir de réaliser son grand fantasme. Mais il faut se décider avant qu'il ne puisse plus ranger son sexe conséquent dans son pantalon.

Stéphanie lui demande alors son prénom et il répond dans un français approximatif :
« Je m’appelle Jarosłav et je viens de Pologne » tout en désignant un bahut garé un peu plus loin portant les couleurs d’une compagnie de Varsovie.
La belle quadra se sent soudain encore plus émoustillée à l’idée de réaliser son fantasme et ses doigts s’agitent de plus belle sur la fente humide de son sexe.
« Le spectacle te plaît ? » lui dit elle en le regardant droit dans les yeux.
À la façon dont sa queue grandit entre ses doigts, Jaroslav n’a pas besoin d’acquiescer.
Son sexe n’a pas vraiment grandi en terme de longueur (et heureusement pense Stéphanie) mais il se dresse maintenant bien à l’horizontale.
Le chauffeur s’approche et le gland gonflé et luisant effleure délicatement les lèvres de la femme.

La coquine ne se fait pas prier et ouvre la bouche en grand pour tenter d'accueillir au mieux le bel engin.
Jaroslav est conscient de la taille de son sexe et ne tente pas de l'insérer en force dans la bouche de Stéphanie. Mais elle aime ça sucer de belles queues et ne boude pas son plaisir en lui offrant une fellation pleine de sensations.
Pour autant elle ne perd pas de vu son objectif premier : se faire prendre dans une cabine de camion. Elle libère sa bouche pour demander au beau polonais de l'amener dans son habitat. Le jeune homme acquièce de la tête avec un sourire qui signifie qu'il apprécie fortement cette demande. Il remonte son caleçon et son pantalon et y insère comme il le peut son engin. Stéphanie sort de sa voiture, ce qui a pour effet de faire retomber sa robe sur ses jambes, cachant ainsi son sexe à l'air libre.

Elle se dirige vers le camion, ondulant devant l’homme qui lui ouvre la portière du camion. Elle se hisse sur le premier échelon du marchepied et s’arrête, son fessier à hauteur du visage de Jaroslav.
Lentement elle soulève des deux mains sa robe dévoilant son cul au regard du routier.
Ses mains partent des talons hauts des sandales de Stéphanie qu’il caresse langoureusement avant de glisser sur ses chevilles puis remonter sur ses cuisses.
Stéphanie frémit de volupté lorsque les mains de Jaroslav se posent sur ses fesses bientôt remplacées par ses lèvres.
La belle pose son pied gauche sur un montant de la portière pour ouvrir d’avantage ses cuisses et faciliter l’accès de sa fente trempée à la bouche chaude de l’homme qui commence avec gourmandise un doux cunnilingus.
La langue pointue de Jaroslav s’active et s’insinue entre les lèvres intimes de Stéphanie recueillant son nectar et lui arrachant des cris de plaisir.

Sans le savoir, il va aborder une zone particulièrement érogène chez la quadra en passant sa langue sur son petit trou. Elle frémit et écarte ses fesses davantage avec ses mains afin de lui en faciliter l'accès.
Il ne se fait pas prier et enfonce sa langue vers cet endroit si particulier en arrachant un cri de plaisir à la coquine.
Elle se rend compte qu'elle n'est ainsi pas très discrète et finit de gravir les marches du camion. Elle avance suffisamment loin pour laisser à Jaroslav la place de s'asseoir à côté d'elle. Il referme la porte et Stéphanie pose de suite un pied sur le tableau de bord et écarte son autre jambe pour l'inviter à reprendre son cunni.
Il est doux mais sa langue est ferme et Stéphanie tressaute à chaque passage sur son bouton d'or.
Bientôt il insère un doigt dans la chatte humide de cette inconnue qui ne peut s'empêcher d'écarter encore plus les cuisses pour offrir à la langue et aux doigts du beau polonais la totalité de son sexe.

Stephanie pose sa main sur son pubis et tire vers le haut afin d’offrir encore plus son bouton gonflé à la langue et à la bouche gourmande de l’homme qui l’aspire et le fait rouler entre ses lèvres.
Jaroslav retire son doigt trempé de mouille et l’introduit dans l’œillet de son anus qui s’ouvre pour l’aspirer.
Stéphanie gémit de plus en plus fort alors que l’homme la fouille sans vergogne tout en lui dévorant son clito. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier dans son fourreau brûlant et étroit et la belle sent monter les premières vagues du plaisir.
Jaroslav passe sa main sous la robe et att un sein lourd au travers de la dentelle du soutien-gorge qu’il commence à malaxer. L’autre main continue de s’occuper de l’anus de Stéphanie qui caresse maintenant vigoureusement son clitoris pour se faire jouir.
Jaroslav contemple avec passion les jolis doigts vernis qui s’activent sur la chatte lisse et trempée de la femme qui crie maintenant à gorge déployée.

Après ce bel orgasme, Stéphanie n'a qu'une envie c'est de se faire prendre par ce magnifique sexe. Elle demande alors à Jaroslav de la baiser mais dans sa cabine. Il ouvre le rideau et allume la petite lumière pour qu'ils puissent se voir et profiter de leur corps. Il laisse rentrer cette femme si envoûtante en la suivant de près et referme le rideau derrière eux.
Elle se positionne à 4 pattes en relevant sa robe, et lui offre ainsi la vision de son sexe et de son cul. Il ne se fait pas prier, déboutonne son pantalon, baisse son caleçon, mets un préservatif et insère son engin dans la chatte trempée de Stéphanie qui expire un râle de plaisir. Elle réitère son "baise moi Jaroslav" et il entame de longs et vigoureux va-et-vient, arrachant à chaque fois des cris à la belle.
Elle passe sa main entre ses cuisses pour atteindre son clito et commence à le caresser. Le sexe de l'homme la remplit totalement et la sensation est intense, il tape au fond de son antre à chaque coup de rein, l'invitant ainsi à se caresser davantage.

Stéphanie veut profiter de la bouche de l’homme. Elle se retourne et fait s’allonger Jaroslav sur sa couchette.
Elle s’accroupit sur lui et saisit sa queue fièrement tendue qu’elle guide du bout des doigts vers l’entrée de sa chatte trempée et impatiente.
L’homme s’est redressé sur ses coudes. Stéphanie se penche en avant et leurs bouches s’unissent dans un baiser fougueux pendant qu’elle s’empale sur lui.
Elle laisse échapper un râle de plaisir, sentant cette colonne de chair plantée au plus profond d’elle.
Jaroslav s’est rejeté en arrière et ses deux mains se glissent sous les fesses de Stéphanie pour guider leurs mouvements.
La belle saisit le bas de sa robe et s’en débarrasse en la faisant passer par-dessus tête.
Tout en continuant à subir les assauts puissants de Jaroslaw, elle dégrafe son soutien-gorge offrant ses magnifiques seins lourds au regard de son amant.
Tout en la pénétrant avec vigueur l’homme s’est à nouveau redressé et lape avec délice les tétons gonflés tels deux fruits mûrs.
Stéphanie veut à nouveau monter à l’orgasme. Ses doigts se posent sur son clitoris pendant qu’elle continue à se faire prendre avec frénésie.

Elle se met à genoux, se penche un peu en arrière, une main posée sur le genou gauche de son amant du jour et l'autre entre ses lèvres. Elle entame de lents va-et-vient et le souffle saccadé, commence à frotter de plus en plus vigoureusement son bouton d'or. Elle sent le point de rupture arriver et dans un spasme son corps entier frémit et elle gueule son orgasme à gorge déployée tout en continuant à se caresser pour faire durer le plaisir, Jaroslav la pénétrant plus rapidement en de bons coups de reins.
Elle se penche pour l'embrasser étouffant ainsi les derniers gémissements liés à l'orgasme. Ils s'enlacent ainsi en se caressant et Stéphanie sentant toujours son amant bien dur, se redresse et entame une seconde danse, empalée sur le sexe se son amant, sa main sur son clito. Elle sait que dans cette position elle peut répéter ses orgasmes plusieurs fois.
Elle reprend ses mouvements et s'empale encore plus vigoureusement sur cette magnifique queue gonflée de plaisir. Ses doigts fouille son clito totalement trempé et l'orgasme vient encore plus vite, plus fort, son corps est pris de spasmes encore plus violents.

Stéphanie veut maintenant jouir de la manière qu’elle affectionne tant et qui constitue son péché mignon. Elle se libère de la queue trempée mais qui n’a pas encore joui et la guide vers son anus serré. Elle pousse un peu pour s’ouvrir et accueillir le membre bien raide.
C’est avec ravissement qu’elle le sent entrer en elle et la remplir complètement.
Elle reste assise là, ses fesses posées sur les cuisses de Jaroslav, son membre chaud enfoui dans ses entrailles.
Elle ondule lentement, décrivant des cercles tout en caressant son clito.
Les mains de l’homme pétrissent ses seins, s’attardant sur ses tétons durcis.
Stéphanie gémit d’une voix rauque dans une complainte implorant que le plaisir ne s’arrête jamais.

Elle augmente le rythme de la pénétration pour encore mieux sentir la totalité de son sexe en elle. Stéphanie continue de se caresser pendant que Jaroslav ne perd pas une miette du spectacle.
Voir cette femme le baiser par ce trou, exposant ses seins et son ventre, se caressant sans pudeur est un moment rare de lâcher prise, d'offrande et de partage.
Il se dit que c'est une belle journée comme il n'est pas prêt d'en revivre. Et la belle pense de son côté qu'elle a vraiment trouvé le partenaire idéal pour assouvir son plus grand fantasme. Non seulement parce qu'il est bien membré mais aussi parce qu'il est adorable et qu'ils partagent un pur moment de plaisir.
Elle finit par monter à l'orgasme et par cet orifice il est encore plus fort, plus violent, plus sonore et Jaroslav ne peut retenir le sien afin d'être à l'unisson avec Stéphanie et partager ensemble ce point de rupture si délicieux, si particulier, si intense.
Ils ont tous les deux le souffle court, haletant.
Stéphanie se retire et vient se coller à son amant afin de partager un moment de tendresse tout en se caressant l'un l'autre.
Avant de quitter Jaroslav, elle l'embrasse langoureusement, lui laisse son téléphone, on ne sait jamais, descend du camion nonchalamment et regagne son véhicule un sourire béat aux lèvres.